Photos et interview de Malika Ménard, Miss France 2010, qu participait à Rouen à un épisode de l’émission « Tous ensemble« . Malika Ménard vendait ainsi place du Vieux-Marché à Rouen des tartes aux pommes pour récolter des fonds pour aider, via l’émission, une famille de Criquetot-Sur-Ouville, dans le pays de Caux.

«Je suis venue à la fois pour le geste solidaire, mais aussi pour rencontrer la Miss France», explique Martine, Rouennaise solidaire, «j’ai acheté cinq parts pour aider cette famille à se reloger», ajoute-t-elle. Malika s’est tout de suite sentie concernée par le thème du programme, «c’est une famille de Normandie, j’ai tout de suite accepté lorsqu’on a fait appel à moi pour participer à l’émission», ajoute-t-elle, au milieu d’une foule impressionnante.
Quelle est la journée type de Miss France?

Malika Ménard: «Il n’y a pas de journée type, c’est toujours différent. Ce qui est bien, c’est d’aller au-devant du public, de rencontrer les gens, de répondre aux médias aussi, que ce soit avec ou sans Geneviève de Fontenay.»

Vous la Caennaise, vous êtes aujourd’hui à Rouen. A qui la capitale de la Normandie?

«En termes de population, c’est Rouen la capitale de la Normandie, la ville est plus proche de Paris aussi. En ce qui concerne une éventuelle réunification, je n’ai pas d’avis tranché, mais il me semble que ce ne serait pas une mauvaise idée, notamment d’un point de vue économique. Rouen est une ville que je connais, il m’est arrivé de faire l’hôtesse au Zénith.»

Le projet de devenir journaliste est-il toujours d’actualité?

«Tout à fait, je continue d’ailleurs de faire deux chroniques par mois au Liberté – Le bonhomme libre [hebdomadaire caennais, NDLR]. En ce moment, avec toutes ces interviews, je suis dans un stage d’observation à l’année. J’adore écrire, je reste sur mon idée de faire du journalisme de presse écrite.»

Pour vous connaître autrement, si vous étiez une chanson ou un film, quels seraient-ils?

«Pour la chanson, sans hésiter, Imagine de John Lennon, je suis une grande fan des Beatles. Pour le film, je vais dire L’Auberge espagnole de Cédric Klapisch, qui symbolise bien ce que je vis en ce moment.»

Propos recueillis par F.L. pour Paris-Normandie.fr